La femme la plus érudite du 12e siècle a transmis ses savoirs dans de nombreuses œuvres, notamment théologiques, médicinales et artistiques.
La femme la plus érudite du 12e siècle a transmis ses savoirs dans de nombreuses œuvres, notamment théologiques, médicinales et artistiques.
Cette femme lettrée a développé dans ses correspondances une éthique amoureuse basée sur l’engagement constant et irrévocable… Jusqu’au sacrifice de soi.
Dans la Grèce antique, Diotime aurait initié une doctrine philosophique permettant d’atteindre par étapes le beau, le vrai et le bonheur.
Dans l’Inde médiévale, cette poétesse développe une pensée qui entend dépasser les divisions et les hiérarchies.
Elle a complété et achevé le travail initié par son père sur les Han de l’ouest, la première grande dynastie impériale chinoise.
Bien avant notre ère, plusieurs femmes s’illustrent par leurs savoirs et leurs idées qui influencent l’histoire de la pensée.
L’école de pensée de Pythagore comptait au moins une vingtaine de femmes dans l’Antiquité, dont Théano de Crotone qui en prit la direction.