La psychologie positive ne nous préserve pas du malheur. Mais elle délivre quelques enseignements pour trouver une relation apaisée à soi et aux autres. C’est ce qu’explique Rebecca Shankland, qui vient de cosigner Les Aventuriers du bonheur perdu.
La psychologie positive ne nous préserve pas du malheur. Mais elle délivre quelques enseignements pour trouver une relation apaisée à soi et aux autres. C’est ce qu’explique Rebecca Shankland, qui vient de cosigner Les Aventuriers du bonheur perdu.
La psychologie positive, qui s’intéresse au bien-être et à la résilience, connaît un franc succès auprès du grand public. Mais offre-t-elle réellement des pistes pour améliorer son quotidien ?
La philosophie sonde depuis l’Antiquité l’énigme des vies heureuses. La psychologie positive s’est lancé le défi d’en faire une science, en étudiant comment le bonheur advient et perdure.
De plus en plus de « sport scientists » se font une place dans l’équipe d’experts entourant les entraîneurs. Pour optimiser la récupération et la nutrition, mais aussi pour forger des esprits de compétiteurs.
Née en réaction à une vision jugée trop scientiste et pessimiste de la santé de l’esprit, la psychologie humaniste a inspiré la psychologie positive et le coaching.
Tous les parents souhaitent le plus grand bien-être possible pour leurs enfants. Quels sont les leviers qui peuvent l’améliorer ? C’est ce qu’étudie la psychologie positive dans le champ de l’éducation parentale et scolaire.
Épanouissement et bien-être sont devenus les maîtres mots dans l’éducation des enfants. Comment appliquer les principes de la psychologie positive en milieu scolaire et en famille ?
Psychologue renommé pour sa pyramide des besoins, référence incontournable en développement personnel, Abraham Maslow est l’un des fondateurs de la psychologie humaniste.
Le courant de la croissance posttraumatique postule qu’un traumatisme pourrait, à terme, représenter une chance. En nous rendant plus humain, plus attentif, plus résistant, il nous changerait, en mieux.
Sans chercher à imposer le diktat d’un bonheur individuel, la psychologie positive étudie scientifiquement ce qui rend la vie riche de sens et de potentialités.
La psychologie positive semble poursuivre les mêmes objectifs d’épanouissement que le développement personnel. Mais ses champs de recherches sont plus vastes, et ses méthodes, radicalement différentes.
L’existence peut être belle, et même mieux encore, lorsqu’on se soucie d’abord de celle des autres. Un lieu commun moralisateur ? En tout cas, c’est ce que mettent en avant les chercheurs en psychologie positive… mais aussi de nombreuses personnes au soir de leur vie.
L’un des psychologues les plus influents du 20e siècle, Carl Rogers, a profondément marqué les pratiques de la relation d’aide. Psychologues, enseignants, travailleurs sociaux, infirmiers, médiateurs…, nombreux sont ceux qui s’inspirent de ses théories. Ses détracteurs, quant à eux, lui reprochent son angélisme.
Symboliquement, c’est en l’an 2000 que s’est constituée cette nouvelle discipline axée sur nos facteurs d’épanouissement. Avec quels résultats ?