Une vague éducative d’un nouveau genre émerge, rejetant aussi bien l’autoritarisme que le laxisme.
Une vague éducative d’un nouveau genre émerge, rejetant aussi bien l’autoritarisme que le laxisme.
Le sentiment d’efficacité personnelle, concept défini par Albert Bandura, désigne la confiance qu’a un individu en sa capacité de mener à bien une activité. Ce sentiment lui permet alors de s’engager plus aisément dans l’action et de persévérer malgré les difficultés.
Il règne partout une véritable injonction au bonheur. Injonction pernicieuse : à trop exalter le positif, nous courons le risque de ne plus savoir vivre.
L’optimisme serait favorable à notre santé mentale, à notre forme physique, à notre vie relationnelle, à notre activité professionnelle, mais aussi à notre longévité. Et il s’acquiert !
Bonne nouvelle : le bonheur est possible. Mauvaise nouvelle : pas pour longtemps. Peut-être, pour être heureux, faut-il chercher le bonheur, pas le trouver.
On ne choisit pas sa famille. En tout cas, celle d’où l’on vient. Mais celle que l’on fonde est notre source de bonheur n° 1. À quelques nuances près…
S’améliorer, c’est modifier son comportement, sa façon d’être. S’accepter, c’est changer ses pensées, sa vision des choses. Qu’est-ce qui est préférable pour se sentir mieux ?
Le bonheur n’est plus seulement un chemin ni même un impératif contemporain, c’est un marché. En témoigne la prolifération de livres, de stages ou d’ateliers pour rendre heureux. Business lucratif ou symptôme d’une mutation sociétale profonde ?
Regarder en face ses difficultés… pour mieux lâcher prise. C’est ce paradoxe que favorisent des techniques de méditation très en vogue.
« Il faut rire avant que d’être heureux, de peur de mourir sans avoir ri », écrivait Jean de La Bruyère. « Vivons heureux en attendant la mort », prônait Pierre Desproges. Christophe André abonde dans ce sens : pour lui, c’est la quête du bonheur qui rend l’existence supportable…
Le soleil, les arbres, les fleurs, les animaux domestiques sont des antistress naturels. De nombreuses études ont examiné les bienfaits de la nature sur le moral.
Comment se reconstruire lorsque l’existence a été fracassée par un drame ? L’affection et l’empathie, le soutien de personnes bienveillantes sont une source majeure de résilience.