Un baiser est bien plus qu’un baiser, contrairement à ce que dit la chanson de Louis Armstrong (A Kiss Is Just a Kiss).
Wendy Hill, professeure de psychologie au Lafayette College (Easton, États-Unis), s’est assigné une grande mission : participer à l’édification de la « science du baiser ». Et pour ce faire, en explorer les fondements biologique, anatomique, physiologique, etc. Après force mesures et comparaisons, elle aboutit à ce constat : un baiser romantique (avec ou sans la langue) produit des effets mesurables sur la production d’hormones. Tout d’abord, il réduit le taux de cortisol, l’hormone du stress. Première conclusion : un baiser fait baisser le stress. À retenir.