Antiquité

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Une pierre dans la tête, une intervention du démon, un dérèglement des humeurs… De l’Antiquité à l’âge classique, la folie donne lieu à des explications concurrentes, et donc à des traitements des plus divers.

Pourquoi philosopher, 
si ce n’est pour apprendre à mieux vivre ?

L’Illiade et l’Odyssée mettent en scène deux archétypes : Achille le combattant fort et intrépide, et Ulysse le stratège rusé et ingénieux. Ces deux modèles structurent encore la pensée militaire.

Rome a dominé l’Occident pendant près de mille ans. Cette réussite unique 
repose sur l’articulation subtile de trois éléments : ambition politique, vision stratégique et souplesse tactique.

Durant la période des Royaumes combattants, l’art militaire chinois connaît une mutation sans précédent. La guerre, autrefois ritualisée, devient un enjeu central de la survie de l’État. D’où l’importance de la stratégie, symbolisée par Sun Zi et son Art de la guerre.

La vieillesse peut être
 vécue comme une libération, 
en permettant une vie riche 
et débarrassée des impératifs 
de la performance.

« Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’Univers et les Dieux », disait la maxime du temple de Delphes. En la suivant strictement, le philosophe Francis Wolff retrace l’histoire de la pensée et des sciences, de l’Antiquité à nos jours.

La notion de régime mixte n’est pas nouvelle : elle apparaît dans la réflexion des philosophes dès l’Antiquité.