Ce neuropsychiatre s’est surtout fait connaître par ses travaux sur la résilience, un concept qu’il a su relayer en France auprès d’un large public.
Ce neuropsychiatre s’est surtout fait connaître par ses travaux sur la résilience, un concept qu’il a su relayer en France auprès d’un large public.
Un besoin inné d’affection et de communication pousse l’enfant à rechercher le contact avec ses proches : cette théorie, élaborée il y a quarante ans, a donné lieu à une multitude de recherches et de controverses.
Un attachement de qualité favorise le développement intellectuel. Et ce n’est pas seulement aux parents de sécuriser l’enfant : les enseignants, et l’école en général, ont leur rôle à jouer.
Il existe différentes familles de troubles mentaux, catégorisées par des classifications internationales. Diagnostiquer un enfant est un exercice délicat, qui passe par des bilan spécifiques. Les référents peuvent varier en fonction des praticiens et de leur spécialités (psychologues, psychiatres, orthophonistes). Pour certains troubles à spectre large, comme l’hyperactivité ou les dys, il peut être utile de faire appel à une équipe pluridisciplinaire.
On ne voit plus l’enfant comme un adulte en moins bien, qui acquiert l’une après l’autre les étapes de l’intelligence. Grâce à de nouvelles méthodes d’observation, la vie fœtale même se révèle riche en surprises.
L’animal ne juge pas, n’exige rien et favorise l’attachement comme la communication. C’est pourquoi le contact avec un chat ou un cheval pourrait aider les plus fragiles. Jusqu’à quel point ?
Le psychanalyste John Bowlby est connu pour avoir le premier démontré l’importance des liens affectifs dans de développement de l’enfant. Sa théorie de l’attachement a ouvert la voie à une autre façon de faire de la psychologie.
Des robots conçus pour assouvir nos fantasmes sexuels ? C’est fait. Certains voient plus loin et rêvent déjà d’une machine programmée pour nous aimer, et que nous pourrions aimer en retour. À quand le mariage ?
Et si nos scénarios amoureux étaient écrits depuis notre enfance ? La quête de sécurité affective et la manière d’exprimer notre besoin d’attachement conditionnent les rapports dans le couple… Pour le meilleur ou pour le pire !
Dès ses premières secondes de vie, le bébé est voué à créer des liens avec les personnes qui l’entourent. Au-delà d’une réelle valeur affective, cet attachement répond avant tout à un besoin vital, assurant sa sécurité et sa survie dans notre monde.
Le besoin d’amour gouverne nos vies. Les passions amoureuses, l’affection parentale, les amitiés et l’empathie constituent le carburant d’une bonne estime de soi qui nous permet d’aimer en retour.
Philia chez les Grecs, compagnonnage des chevaliers médiévaux, amitiés intellectuelles… ou plus intimes de la modernité : toutes les époques et toutes les cultures attestent de la puissance du lien d’amitié.
Comment, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, ce pédopsychiatre, psychanalyste et passionné d’éthologie, élabora une théorie devenue centrale dans la psychologie du développement.
Le jour de la naissance est celui où l’on a le plus de risques d’être assassiné. Et la première année de vie reste particulièrement à risque.
Présents, affectueux, disponibles : les pères d’aujourd’hui se veulent très impliqués. Mais cela ne veut pas forcément dire qu’ils en font beaucoup…