Cerveau

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Pour que notre libido s’active, certains neurones doivent se désactiver. C’est ce que montre l’imagerie cérébrale, qui permet de repérer les zones impliquées dans l’excitation et le plaisir sexuels.

À première vue, les techniques d’amélioration de soi n’ont jamais été aussi nombreuses et, à en croire certains, révolutionnaires. Mais qu’est-ce qui change vraiment ?

Pourquoi aimons-nous l’art ? Peut-être parce que grâce à lui, et malgré notre passivité apparente, notre cerveau peut se mettre dans tous ses états…

À l’heure du multitâche, les recherches se multiplient pour comprendre ce qu’est l’attention et comment la maintenir.

Qu’il s’agisse de sa définition, de sa prise en charge, de son origine présumée, tout ce que l’on croyait savoir sur ce trouble est remis en question depuis le début du siècle.

Expliquer nos comportements économiques à travers notre fabrique neuronale, telle est la tâche que s’est donnée la neuroéconomie.

Elle a pour ambition de mieux comprendre ce qui se joue dans le cerveau d’un enfant qui apprend, et d’améliorer ainsi les méthodes d’apprentissage.

Stimuler le cerveau, le réparer, l’augmenter chez un individu sain…, ce n’est plus tout à fait de la science-fiction. Surtout quand les entreprises les plus intéressées par un tel marché s’appellent Google et Apple.

Comment notre cerveau nous permet-il de penser ? Telle est la question posée par les neurosciences cognitives. Leurs recherches sont ambitieuses, mais impliquent des méthodes d’analyse si complexes et si spécialisées que les chercheurs doivent souvent se croire sur parole…

On les appelle « surdoués », « enfants intellectuellement précoces » ou « à haut potentiel ». Le point commun : avoir un QI supérieur à 130. Comment les repérer, les éduquer et les aider à s’épanouir ?

Difficile pour la philosophie d’étudier l’esprit en ignorant tout 
des neurosciences. En retour, les neurosciences ont bien du mal à déchiffrer la conscience ou la pensée. Comment rendre le dialogue possible et fécond ?

Le cerveau décline en vieillissant, mais de récentes recherches mettent 
en évidence sa faculté d’adaptation, sa malléabilité et sa flexibilité. Précieuses capacités pour maintenir les activités cognitives jusqu’à un âge avancé.