Avant de juger quelqu’un sur ses paroles ou ses compétences, nous lui prêtons une foule de qualités et de défauts en fonction de son apparence. Un réflexe en grande partie irrationnel et néfaste, mais comment s’en affranchir ?
Avant de juger quelqu’un sur ses paroles ou ses compétences, nous lui prêtons une foule de qualités et de défauts en fonction de son apparence. Un réflexe en grande partie irrationnel et néfaste, mais comment s’en affranchir ?
Espaces d’échange et de valorisation de soi, les réseaux sociaux regorgent de corps minces, jeunes et musclés, ultranormés et hypersexualisés. De quoi provoquer une épidémie mondiale de complexes ?
La fatigue n’est pas intrinsèquement négative. En témoigne la passion moderne pour le sport qui, redonnant l’occasion d’éprouver ses limites physiques, procure la sensation d’exister.
De l’épuisement du pèlerin au burn-out contemporain, l’historien Georges Vigarello traque avec minutie les représentations de la fatigue du Moyen Âge à nos jours.
Désirant, abusé, affamé, maternel, sportif, vieillissant… : le corps féminin est au centre de nombreux récits. Témoin d’un nouvel âge du féminisme ?
Dans son dernier essai, le sociologue Wilfried Lignier propose de se saisir des outils des sciences sociales, et non de la psychologie, pour faire son autoanalyse.
Tatouages, implants, body-building, régimes… Le corps n’est plus un legs intangible, mais un espace de construction et d’affirmation du moi. Une manière de reprendre le contrôle sur son existence, dans un monde qui nous échappe.
L’identité sexuelle se compose de plusieurs facettes : chromosomique, anatomique, hormonale, sociale et psychologique. La plupart du temps, elles convergent pour faire de nous des hommes ou des femmes. Mais il arrive qu’elles ne coïncident pas, révélant des identités ambiguës ou hybrides.
Le jeune enfant a besoin de plusieurs années pour prendre conscience de son genre. Les bouleversements de l’adolescence peuvent le conduire à questionner et redéfinir son identité.
Trans, fluides, queers, non-binaires… De plus en plus de Français, notamment parmi les plus jeunes, revendiquent une identité de genre autre que celle d’homme ou de femme. Comment expliquer ce phénomène ?
Pour beaucoup de femmes, il est plus difficile de confier ses sentiments, ses envies et ses réticences, que de dénuder son corps et faire l’amour. La reconnaissance de l’intimité passe par une nouvelle éthique amoureuse.
Les pratiques gymniques, comme l’eutonie ou la danse-thérapie, s’appuient sur le corps en mouvement pour lever des blocages, tant physiques que psychiques.
La méditation est-elle victime de son succès ? Si ses bienfaits sont amplement documentés, son expansion vertigineuse suscite une certaine méfiance.
La méthode Eye Movement Desensitization and Reprocessing), ou désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires en français, a le vent en poupe. Elle affiche des résultats intéressants, notamment dans le traitement du psychotraumatisme.
Pratique populaire dans le domaine du bien-être, la sophrologie n’a pas encore prouvé son efficacité en matière de soin.
Hypnose, méditation, sophrologie, réflexologie…,ces pratiques corporelles, souvent anciennes, reviennent en force et s’intègrent de plus en plus aux psychothérapies. D’où viennent-elles ? Et comment expliquer cet engouement ?
La musicothérapie agit sur l’anxiété, et permet de raviver des souvenirs. Reportage dans un ehpad où elle est proposée chaque semaine aux résidents.
L’analyse bioénergétique est née d’une critique de l’approche psychanalytique classique, initiée par Wilhelm Reich dans les années 1930. Elle s’appuie sur des exercices corporels, des yeux aux pieds en passant par le diaphragme.
Reiki, réflexologie, rolfing… Si les méthodes faisant appel au toucher dans le parcours de soins ne sont pas nouvelles, leurs bénéfices sur le plan scientifique commencent seulement à être reconnus.