La condamnation des châtiments corporels est un principe essentiel de l’éducation positive.
La condamnation des châtiments corporels est un principe essentiel de l’éducation positive.
En imposant la distanciation physique, la crise sanitaire a bouleversé la part la plus intime de notre vie sociale. Saurons-nous – et voudrons-nous – réapprendre à nous toucher et nous embrasser ?
Pour la philosophe Camille Froidevaux-Metterie, les combats féministes actuels, orientés autour du corps et de la sexualité, marquent une nouvelle étape vers l’égalité entre les sexes.
De nombreuses discriminations sont fondées sur l’apparence physique : couleur de peau, taille, poids, tenue… Elles peuvent aussi se baser sur les attitudes corporelles.
Les tentatives de reconstitution des visages du passé se multiplient, grâce à des collaborations entre scientifiques et artistes. Faut-il les prendre au sérieux ?
Dans les années 1970, féministes et autres partisans se rejoignent pour défendre le droit à l’avortement. Leurs mobilisations très médiatisées aboutissent à la loi Veil en 1974.
L’annonce d’une maladie grave sidère et bouleverse. Quand bien même la guérison survient, l’épreuve traversée scelle un impossible retour à la vie d’avant.
Aucune thérapie ne fonctionne à coup sûr face à tous les troubles mentaux, ni avec tous les patients et tous les thérapeutes. D’où une multitude d’approches différentes, parfois contradictoires.
Bien dormir, manger équilibré, faire du sport…, tous ces éléments pourraient favoriser la réussite scolaire des élèves.
Descartes et Spinoza conçoivent l’union de l’âme et du corps de manière très différente. Tandis que Descartes voit deux substances qui agissent l’une sur l’autre, pour Spinoza, c’est une seule et même chose, vue sous deux aspects.
Chercher à comprendre les mécanismes par lesquels les croyances agissent sur le corps, c’est aussi accepter que ceux-ci se dérobent en partie aux explications rationnelles…
Les approches corporelles comme le yoga ou la méditation s’intéressent aux blocages corporels synonymes de mal-être. Comment fonctionnent-elles ? Peut-on parler de thérapies ?
Dans les maladies graves, les « soins de support » visent à améliorer le moral et la qualité de vie des patients.