L'annonce d'une maladie grave marque le début d’une odyssée solitaire et radicale, d’où l’on n’est pas certain de revenir. Comment vit-on cette expérience ? Par quelles étapes passe-t-on ? Qu’y découvre-t-on de soi ?
L’âme ? Impossible de la définir, difficile d’y croire, utopique de s’en défaire. Tel est le paradoxe. Voilà une entité immatérielle, mystérieuse et improbable que nos sociétés ne parviennent pas à éradiquer et dont les individus semblent avoir du mal à se passer. Pourquoi ?
Un deuil, un accident, une agression imposent un virage radical à l’existence. Mais tout le mondene se laisse pas abattre, certains parvenant même à retourner les épreuves à leur avantage. Comment font-ils ?
Traiter les animaux comme des machines à viande, c’est occulter le rapport affectif de l’éleveur à ses bêtes. Ce n’est pas l’élevage qu’il faut abandonner mais des dérives productivistes aberrantes.
Enfance, jeunesse, maturité, vieillesse…, la sagesse des anciens voulaient que les âges de la vie se calquent sur les étapes biologiques. Aujourd’hui, ce modèle semble complètement bouleversé.
Le sociologue Yves Lambert nous a légué une grande fresque du phénomène religieux. Scandée en cinq parties, elle nous permet d’analyser les évolutions sur le long terme.
La démographie est à la croisée des chemins. Croissance, fécondité, migration…, les vieux enjeux sont à repenser ; vieillissement, dénatalité, évolution des mœurs…, de nouvelles données bouleversent la réflexion.
Une religion comme institution à part apparaît au néolithique – avec ses dieux à figures humaines, ses prêtres, ses structures monumentales. Auparavant, la pensée mythique et les rituels ne devaient guère être désolidarisés des autres activités humaines.
En nous confrontant à ce qui fonde les normes du bien et du mal dans d'autres sociétés, l'anthropologie s'avère bien utile pour comprendre nos propres valeurs.
Un enfant ne voit ni ne ressent les choses comme un adulte. Pour vivre un deuil, il a besoin qu'on lui dise la vérité simplement, qu'on le déculpabilise et qu'on l'entoure d'un climat familial sécurisant.