De sa forme embryonnaire chez la méduse à son incarnation la plus complexe chez l’humain, Peter Godfrey-Smith retrace les étapes fondamentales de l’évolution de la conscience subjective.
De sa forme embryonnaire chez la méduse à son incarnation la plus complexe chez l’humain, Peter Godfrey-Smith retrace les étapes fondamentales de l’évolution de la conscience subjective.
Metteuse en scène, cette historienne des sciences explore les liens entre arts et sciences, qui ne cessent de se nourrir mutuellement.
Ce courant philosophique et politique est né à la fin des années 1970 de la rencontre des luttes féministes et écologistes. Il postule que la domination patriarcale est à l’origine de la destruction de la planète.
Nous avons l’impression d’être une personne unique, alors que d’autres formes de vie nous constituent. Partout dans la nature, d’étonnante symbioses remettent en question les frontières du vivant.
Ces microorganismes ont besoin d’entrer dans une cellule pour croître et se multiplier. Ils remettent en question les limites de la vie.
Dans une société de défiance où la critique généralisée supplante le doute légitime, il est urgent de repenser les manières de raconter la science, estime le physicien et philosophe Étienne Klein.
Les théories se succèdent et les connaissances s’accumulent… Mais notre ignorance croît aussi avec les avancées du savoir scientifique.
C’est la question posée à une centaine de chercheurs, chercheuses et universitaires dans un ouvrage en deux tomes (éd. Matériologiques, 2017- 2018, sous la direction de Marc Silberstein). Morceaux choisis.
L’utopie d’une science objective, appuyée sur une langue logique pour décrire le réel, a été déjouée par la découverte des « jeux de langage », le développement de la sociologie des sciences et du relativisme.
La causalité est la catégorie la plus fréquemment mobilisée pour expliquer un phénomène. Elle ne va pourtant pas de soi et fait l’objet de critiques.
Les philosophes et savants n’ont cessé de chercher des moyens de mieux comprendre le monde. Tour d’horizon des méthodes déployées, à travers plus de deux mille ans d’histoire.
Au début des années 1990, le séquençage intégral de notre génome devait permettre de découvrir la nature et l’identité des humains. Pour ses détracteurs, il a surtout consacré la fin du « siècle du gène ».
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les auteurs qui dénoncent les dangers et les vices de la civilisation technique mettent à mal les idées de progrès et d’autonomie de l’homme. Signent-ils pour autant l’arrêt de mort de l’humanisme ?
Bruno Latour a développé une sociologie des formes de vérité : comment se fabriquent les faits scientifiques. Dans Où atterrir ? (2019), il enquête sur les sciences du climat.