Des outils numériques efficaces permettent d’adapter les apprentissages aux besoins de chaque élève, ou de développer les capacités de concentration et de mémorisation. Mais la France tâtonne encore.
Des outils numériques efficaces permettent d’adapter les apprentissages aux besoins de chaque élève, ou de développer les capacités de concentration et de mémorisation. Mais la France tâtonne encore.
Depuis quatre-vingts ans, les théoriciens de l’attachement et leurs successeurs ont montré l’importance des liens affectifs pour le développement de l’individu.
Éducation positive, parentalité positive, autorité positive : d’où vient cet adjectif qui suscite aujourd’hui l’enthousiasme des éducateurs ?
Au CHU-Montpellier, l’hôpital de jour Peyre-Plantade s’appuie sur les thérapies cognitives et comportementales pour aider des adolescents anxieux qui n’arrivent plus à se rendre au collège ou au lycée.
Dès le plus jeune âge, les enfants manipulent tablettes et smartphones, tout en jetant un œil à la télé allumée. Les parents se trouvent confrontés à une nouvelle tâche, et de taille : structurer les usages des écrans.
L’éducation émotionnelle figure depuis 2015 dans les directives de l’éducation nationale. Si le principe paraît bénéfique, les méthodes et objectifs restent souvent flous.
Les enfants dysgraphiques, à l’écriture illisible et ralentie, sont souvent en grande difficulté à l’école. Alors qu’ils sont en général dotés de bonnes facultés intellectuelles, leur écriture peut les mettre en échec.
Tenir son nourrisson dans les bras, lui rendre ses premiers sourires, accompagner ses progrès jusqu’à le voir devenir adulte, telles sont les joies du quotidien parental et la face brillante d’une médaille qui apporte aussi son lot d’inquiétudes, d’épuisement, et de sentiment de ne pas être à la hauteur. Les injonctions éducatives contemporaines ont-elles eu raison de l’idéal d’une parentalité épanouissante ou celui-ci pourrait-il n’avoir jamais été qu’un mythe ?
Des premières complicités de la crèche aux meilleurs amis avec qui on fête son baccalauréat, les copains apparaissent comme des acteurs indispensables à la construction sociale et émotionnelle des enfants et adolescents.
Le développement d’un enfant est jalonné de normes : il doit savoir parler à tel âge, lire et compter à tel autre… Les enfants qui sortent du cadre risquent de se retrouver en marge des bancs de l’école.
La psychologue Alison Gopnik invite à reconsidérer nos représentations des enfants : selon elle, les bébés ont leurs propres modes de raisonnement, distincts de ceux des adultes. Grandir consiste moins à croître qu’à se métamorphoser.
Si l’objectif d’intégrer des enfants autistes à l’école n’est pas remis en question, les méthodes et dispositifs créés depuis quinze ans ne sont pas toujours adaptés à la spécificité de l’autisme.
Lorsqu’un élève se sent aimé par son enseignant, il s’engage dans ses études avec plus d’entrain, de confiance et de réussite. L’implication affective des profs est un puissant levier scolaire.
Chez les élèves comme chez les enseignants, le « capital émotionnel » constitue une ressource précieuse pour le développement personnel, professionnel et organisationnel. D’où l’importance d’apprendre à identifier ses émotions et celles des autres.
De la maternelle à l’université, les innovations pédagogiques fleurissent dans l’enseignement. Elles témoignent de la nécessité de s’adapter aux nouvelles générations d’élèves.
En juillet dernier, l’Assemblée nationale a adopté une loi interdisant le recours aux « violences éducatives ordinaires ». Mais de quoi s’agit-il ? Quels impacts ont-elles sur les enfants ?
Anxiété ? Trouble de l’apprentissage ? Manque de confiance ? Pour relancer un enfant en échec, il faut prendre le temps d’identifier l’origine de ses difficultés.
La réussite scolaire est injuste. Elle est inégalement répartie parmi les élèves, y compris chez ceux qui travaillent. Pour autant, tout n’est pas joué d’avance.