L’écriture a été inventée plusieurs fois, par des peuples différents pour des usages différents. L’aventure du déchiffrement des textes qu’ils nous ont légués témoigne de l’ingéniosité des moyens déployés pour faire de l’image un signe.
L’écriture a été inventée plusieurs fois, par des peuples différents pour des usages différents. L’aventure du déchiffrement des textes qu’ils nous ont légués témoigne de l’ingéniosité des moyens déployés pour faire de l’image un signe.
Langage texto, néologismes, émojis : ces nouvelles pratiques mettent-elles vraiment la langue en danger ou témoignent-elles de sa vitalité ?
Ils sont capables de prouesses langagières, pourtant ni les uns ni les autres n’ont les mêmes usages que nous de la langue. Sans doute parce que l’expérience humaine qui motive la parole et donne sens aux mots leur est étrangère.
Les parents ne sont pas les seuls à contribuer au développement du langage chez l’enfant. Leurs camarades ou les professionnels de la petite enfance, par exemple, jouent aussi un rôle important.
L’écriture inclusive fait l’objet de vifs débats depuis 2017, mettant depuis peu l’accent sur le cas spécifique des dys (dyslexiques-dysorthographiques). Mais que sait-on réellement de leurs difficultés ?
Les théories sur l’acquisition du langage ont longtemps débattu du caractère inné ou acquis de cette faculté, avant d’adopter une position médiane, valorisant l’interaction et l’envie de communiquer du bébé.
Si l’origine neurobiologique des troubles dys est bien établie, le rôle des facteurs sociaux et des inégalités dans les trajectoires individuelles reste mal connu.
Les significations et connotations de cette insulte ne sont pas les mêmes d’une langue à l’autre. La preuve par les traductions du fameux « Casse-toi, pauvre con ! ».
À rebours des spécialistes des langues qui les étudient comme des entités en soi, Louis-Jean Calvet considère que les langues n’existent pas hors de l’environnement dans lequel elles sont pratiquées.
La parole est un art de la même famille que la danse, le chant ou le théâtre. Sa maîtrise repose sur des règles physiques et mentales connues depuis l’Antiquité.