Dépenser pour se sentir mieux : c’est le credo de l’économie de marché et du marketing depuis le 18e siècle, au risque de susciter de nouvelles pathologies comme l’achat compulsif.
Dépenser pour se sentir mieux : c’est le credo de l’économie de marché et du marketing depuis le 18e siècle, au risque de susciter de nouvelles pathologies comme l’achat compulsif.
La drogue est partout, en vente libre comme l’alcool et le tabac, vendu sous le manteau, à l’image du cannabis et de la cocaïne... Elle n’a jamais été autant consommée malgré les politiques de prohibition.
Il y a vingt ans, on annonçait Internet comme une source infinie de découvertes. Que reste-t-il de cette utopie ?
Démocratisation de la mode, invention des soldes, création de la vente par correspondance… Au milieu du 19e siècle, les grands magasins révolutionnent le commerce, ouvrant la voie à la consommation de masse. Une épopée racontée par le musée des Arts décoratifs dans une foisonnante exposition.
Le marché de la friperie est en pleine expansion en France. Fondé sur des arguments écologiques et sentimentaux, il séduit des acheteurs en quête de sobriété, mais encourage paradoxalement la surconsommation.
Alors que la surconsommation épuise la planète, miser sur les bonnes volontés individuelles ne suffira pas, estime Thierry Ripoll. La solution devra être collective et politique.
La cofondatrice de marmiton.org a choisi de retourner à l’université pour mener une thèse de doctorat. Un choix de carrière à contre-courant, où l’expérience professionnelle alimente la démarche scientifique.
Faire appel à l’altruisme ou à la morale ne fonctionne pas. L’utilitarisme est paradoxalement mieux armé.
Les individus ne peuvent pas transformer seuls notre modèle pour le rendre plus écologique et responsable. Les entreprises et les États ont aussi un rôle à jouer.
Privilégier des achats responsables ou modérer sa consommation ne suffit pas. Un changement de modèle reste nécessaire selon un rapport de l'Ademe.
Trois mécanismes psychologiques permettent d’expliquer nos difficultés à changer de comportements : la paresse, l’habitude et l’acrasie.
Analyser la consommation peut se faire à bien des niveaux : social, économique, anthropologique… L'anthropologue Dominique Desjeux montre comment ces approches et différents niveaux d’analyses peuvent se conjuguer.
Face à la crise climatique et l’épuisement des ressources naturelles, un changement radical semble s’imposer. Mais cette sobriété reste souvent mal comprise.
Comme toute décision, les achats obéissent moins à des calculs d’intérêts parfaitement rationnels qu’à des automatismes et des habitudes. Le point sur nos principaux biais.