Hors de prix, tape-à-l’œil, démodable… Oui, mais Louis Vuitton, Rolex ou Lamborghini. Peu importe le coût, les produits griffés, gages de raffinement, font rêver sur le seul nom. Pourquoi ?
Hors de prix, tape-à-l’œil, démodable… Oui, mais Louis Vuitton, Rolex ou Lamborghini. Peu importe le coût, les produits griffés, gages de raffinement, font rêver sur le seul nom. Pourquoi ?
Mâtinée de recherches esthétiques et d’innovations techniques, l’affiche française s’est enrichie en se mettant au service d’enjeux commerciaux… mais aussi en tentant de rompre avec eux.
Une logique économique explique la mise en place de la société d’hyperconsommation après les trente glorieuses. Mais cela n’a pu se faire sans la complicité des consommateurs.
D’où vient l’emprise croissante sur nos vies des marchandises et des écrans ? De la puissance d’un « système » qui nous enrôle à notre insu ou de nos pulsions dévorantes ? C’est en analysant les chaînes de dépendance qui nous relient au monde de la consommation et des réseaux que l’on peut tenter de déjouer leur piège.
La prophétie marxiste vouait le capitalisme à la disparition. Mais il a, jusqu’à nouvel ordre, survécu aux crises en se transformant, et ses derniers avatars donnent à penser que sa ruine n’est pas pour demain.
La première révolution industrielle semble être portée par une vague d’innovations techniques. Pourtant, les historiens ne s’accordent ni sur le découpage ni sur les causes de l’industrialisation de l’Occident.
L’idéal de l’équilibre de marché a du plomb dans l’aile face aux influences sur les agents économiques. Tour d’horizon des petites et grosses manipulations qui nous guettent.
Les circuits courts permettent-ils de réduire notre empreinte écologique? Peuvent-ils garantir l’autosuffisance alimentaire des villes?
Le sociologue américain Paul Lazarsfeld a développé les grandes enquêtes sur l’influence des médias et les choix électoraux. Il a démontré que les proches jouent un rôle plus marqué que les médias dans la formation des opinions individuelles.
Joseph A. Schumpeter reste surtout l’homme d’une idée : celle de la capacité des crises économiques à créer du neuf en détruisant de l’ancien. Mais son goût pour l’innovation ne lui soufflera pas toujours des prédictions exactes.
En justifiant les interventions régulatrices de l’État sur le marché, John M. Keynes a profondément influé sur les politiques économiques du monde libre de 1945 à 1980.
Objectif de la majorité des économistes et des gouvernements, la croissance économique est soumise à de nombreux débats. Est-elle en bout de course ? Est-elle nocive pour notre planète, donc pour l’humanité ?
L’économie comportementale décrypte les incitations qui orientent le plus souvent nos comportements de salariés ou de consommateurs.