Pour Jean-Pierre Changeux, passionné par la musique et collectionneur de tableaux, l’art est le propre du cerveau humain, et ce depuis la nuit des temps. Mais pourquoi nos neurones en sont-ils si friands ?
Pour Jean-Pierre Changeux, passionné par la musique et collectionneur de tableaux, l’art est le propre du cerveau humain, et ce depuis la nuit des temps. Mais pourquoi nos neurones en sont-ils si friands ?
Selon les neurosciences, stimuler la curiosité et le plaisir active le circuit de la dopamine et aiguise le désir d’apprendre, un besoin fondamental des êtres humains.
Le psychologue suisse Jean Piaget fut le premier à proposer une théorie complète du développement cognitif. Cinquante ans après, que reste-t-il de sa théorie ?
Depuis une trentaine d’années, psychologues et neuroscientifiques étudient les effets curatifs de la méditation. Souvent associée à des religions comme le bouddhisme, cette pratique peut-elle être véritablement thérapeutique ?
Longtemps vues comme des humeurs incontrôlables, les émotions sont aujourd’hui considérées comme le moteur de notre psychisme. La psychologie et les neurosciences en explorent le rôle et le fonctionnement.
Le sommeil est un ange gardien des apprentissages : il fortifie la mémoire, décuple l’attention, stimule la créativité et accélère la maturation du cerveau.
Qu’est-ce que l’esprit ? Se résume-t-il à l’activité de notre cerveau ? Aujourd’hui la neurobiologie tente, avec un succès modeste, de dissiper le mystère.
Les troubles de l’acquisition du langage écrit proviennent de plusieurs types de dysfonctionnements. D’où la nécessité de mettre en place des aides adaptées à chacun.
Jeune domaine de recherche, les neurosciences de l’attachement s’attachent à mettre en évidence les mécanismes biologiques de nos liens affectifs. Des mécanismes complexes, encore mal connus, où s’intègrent les hormones la cognition, le cœur, l’odorat, le toucher…
Pape de la pédagogie, Philippe Meirieu sort les griffes dans son dernier livre. Les « antipédagos » ? Passéistes et élitistes ! Les « hyperpédagos » ? Incompétents et sectaires ! Les aficionados des neurosciences ? Scientistes ! Mais alors, à qui se référer pour éduquer les enfants ?
En ouvrant une fenêtre sur le cerveau de l’enfant, les neurosciences s’invitent dans la psychologie infantile.
La psychologie de l’enfant a produit un foisonnement de théories, parfois opposées et objets de controverses virulentes. Ces travaux ont néanmoins radicalement changé le regard sur l’enfance et sur les manières d’éduquer.
Les esprits brillants n’ont pas plus de neurones que les autres. Mais ils ont un atout : la fluidité et la flexibilité de leur « connectome », c’est-à-dire de leur réseau neuronal. Un terrain d’investigations passionnant pour les chercheurs.
Elles nous promettent une meilleure compréhension du cerveau, de la cognition, des émotions, des relations interpersonnelles… Les neurosciences ont-elles les moyens de leurs ambitions ?
Les progrès de l’imagerie cérébrale ont relancé l’espoir de pouvoir définir et localiser la conscience. Mais la science n’a pas encore épuisé ce mystère.
Notre cerveau détecte en permanence, et en priorité, les émotions et intentions d’autrui. Pour autant, peut-on y voir l’origine du lien social ?