Certains métiers, bien que peu considérés socialement, suscitent beaucoup de passion : réparer des motos ou s’occuper de pylônes électriques. Rencontre avec ces professionnels qui aiment leur travail.
Certains métiers, bien que peu considérés socialement, suscitent beaucoup de passion : réparer des motos ou s’occuper de pylônes électriques. Rencontre avec ces professionnels qui aiment leur travail.
On travaille pour trois raisons fondamentales : gagner sa vie, exister socialement et faire des choses qui nous intéressent. Mais chacune de ces motivations a ses revers, poussant chacun tantôt à s’engager tantôt à fuir.
Quand un philosophe, auteur d’une œuvre abondante, donne ses conseils sur l’art d’écrire et d’organiser sa pensée…
Marx considérait que les crises sont l’expression des contradictions internes au capitalisme, et qu’elles doivent conduire à son effondrement. Mais il a laissé sa théorie des crises inachevée. Dans quelle mesure peut-il donc éclairer la crise d’aujourd’hui ?
Les rythmes quotidiens restent largement structurés par le temps de travail et son morcellement croissant. La conciliation avec la famille et les loisirs reste complexe, en particulier pour les femmes.
Trois mois, six ans, vingt ans… De parloirs en promenades, comment vit-on le quotidien en milieu carcéral ? Comment s’organise la vie quand elle est contenue dans une cellule de 10 m2 ?
Seuls 45 % des 20-25 ans sont étudiants. Où sont les autres ? Sur les chantiers de BTP, au Pôle emploi ou encore reclus chez eux, ignorés des statistiques… Tour d’horizon.
Lorsque l’on imagine un ouvrier, on pense d’abord à l’usine. Les ouvriers sont pourtant bien plus nombreux dans le bâtiment, les services, l’artisanat. Retour sur la disparition d’un monde autrefois homogène…
Comment passer de l’école à la vie professionnelle aujourd’hui ? Réponse : en passant par un sas de diplômes, de concours, de stages, de CDD, de contrats précaires en tout genre. Il peut ainsi s’écouler des années avant de décrocher le précieux sésame : un emploi stable.
L’allongement de l’espérance de vie recouvre des enjeux économiques majeurs, qu’il s’agisse d’emploi, de retraite ou de dépendance. Il ouvre également la possibilité d’une vie active, source d’épanouissement individuel.
Harassées par les tâches quotidiennes, culpabilisées par l’image exigeante de la « bonne mère », les femmes doivent assumer l’essentiel des soins donnés aux enfants. Quand l’émancipation féminine se heurte à la dure réalité du maternage quotidien, l’image d’Épinal de la mère épanouie en prend un coup.