Tramway, métro, bus, vélo... Les habitants des centres-ville ont l’embarras du choix. Les autres n’ont souvent que la voiture comme solution. Comment y remédier ?
Tramway, métro, bus, vélo... Les habitants des centres-ville ont l’embarras du choix. Les autres n’ont souvent que la voiture comme solution. Comment y remédier ?
Les circuits courts permettent-ils de réduire notre empreinte écologique? Peuvent-ils garantir l’autosuffisance alimentaire des villes?
À la veille de la conférence climat de Paris, l’accélération du réchauffement climatique nous oblige à repenser l’impact écologique de nos villes. Retour au vert ou smart cities ? Low-tech ou high-tech ? Pratiques solidaires ou individualisme branché ? Des visions très contrastées qui déterminent un choix de société.
Organiser les espaces de verdure en ville, tout en respectant l’écologie des sites, c’est l’objectif affiché de la gestion différenciée.
La loi de 2002 oblige les villes de plus de 80 000 habitants à mettre en place des conseils de quartier, mais d’autres expériences de démocratie participative fleurissent.
Spécialiste de l’intervention sociale, Manuel Boucher pointe les dérives de l’empowerment à la française.
La ville n’est pas seulement un lieu d’habitat et d’affaires. C’est d’abord, pour de nombreux humains, un ancrage, un réseau, un imaginaire, une identité… Elle se trouve aujourd’hui ébranlée de toutes parts : par l’émergence de mégalopoles plus attractives, par la constitution de nouveaux pouvoirs et par le grignotage continu des campagnes, au point que certains pronostiquent la fin de la ville et l’avènement d’une urbanisation globale.