Plutôt que se focaliser sur la pensée positive ou la motivation, de nombreuses techniques de développement personnel se concentrent sur le soin et le mouvement du corps.
Plutôt que se focaliser sur la pensée positive ou la motivation, de nombreuses techniques de développement personnel se concentrent sur le soin et le mouvement du corps.
Une zone pour la production du langage, une pour la mémoire, une pour les émotions… Cette conception, héritée du 19e siècle, est aujourd’hui caduque…
Notre cerveau détecte en permanence, et en priorité, les émotions et intentions d’autrui. Pour autant, peut-on y voir l’origine du lien social ?
On les appelle « hétérogènes », ces enfants qui brillent par leur génie dans certains domaines et sont à la traîne dans d’autres. Quelles sont les particularités de ces enfants ? Comment expliquer ce grand écart ?
Croyances ne reposant sur rien, observations réelles mais mal interprétées, imagerie parfois trompeuse… Plus le cerveau fascine, plus on peut croire n’importe quoi à son sujet.
L’empathie du professeur est un puissant levier de réussite scolaire, comme le montre Catherine Guéguen, qui s’appuie sur les travaux des neurosciences. Elle appelle à une formation des enseignants à la gestion des émotions : les leurs et celles des élèves.
Pleure-t-on aujourd’hui comme on pleurait chez les Romains ? L’humiliation est-elle un héritage médiéval ? Depuis quelques années, nos émotions intéressent les historiens.
Le rôle positif des émotions ne cesse d’être célébré. Selon Antonio Damasio, elles ont été le moteur biologique du développement des cultures humaines. Mais les sociologues montrent qu’elles ont aussi des usages peu spontanés.
La qualité et la rapidité de l’apprentissage dépendent à la fois des émotions mobilisées, de la motivation, de l’attention, du retour d’information et de la consolidation des savoirs. Bonne nouvelle, il est possible de travailler chacun de ces points.
En matière d’éthique, peu de principes résistent à l’épreuve du réel. S’il en est ainsi, c’est que notre jugement moral n’obéit pas à une logique simple : il est tiraillé entre émotions et raison, et toute décision dans ce domaine commence par un dilemme.
Au-delà des textes de loi, il y a la pratique. La manière dont les agents de l’État mobilisent des valeurs et des arguments éthiques pour guider ou justifier leur action fournit une image concrète et complexe de ce qu’est la morale de l’État.
Colères antiques, amour courtois, violences révolutionnaires, pleurs et joies romantiques… Sensibilités et passions s’expriment différemment selon l’air du temps. Un collectif d’historiens a entrepris de faire leur histoire.