A l’heure actuelle, chacun de nous a la possibilité de choisir ce qui va advenir de son corps après sa mort. Dans l’Europe chrétienne, les deux possibilités sont l’enterrement et la crémation. Mais comment s’opère cette décision ? Quels sont les critères pris en compte et les influences à l’œuvre ? Une étude s’est intéressée aux dernières volontés de Parisiens et de Madrilènes.
Voici les portraits robots que l’on peut établir :
1. Le choix de l’enterrement serait plutôt celui d’une femme, parisienne, âgée de plus de 65 ans, sédentaire, catholique pratiquante et plutôt orientée vers le passé que vers l’avenir ou le présent. Son conjoint est (ou souhaite être) enterré, ses parents le sont aussi. Elle demande à être inhumée dans un lieu auquel elle est attachée pour des raisons sociales et/ou familiales (ex : « avec la famille de mon mari ») ou sur son lieu de naissance.