Les premiers tests d'intelligence, comme le célèbre Stanford-Binet, ont été construits de façon pragmatique : on les adaptait aux différentes cultures, on développait des épreuves non-verbales pour ne pas léser ceux qui maîtrisaient mal la langue, etc. Mais ils n'ont pas permis de comprendre les mécanismes de l'intelligence. Depuis quelques années, de nouveaux tests mesurent, par des tâches de planification, d'attention, de mémoire, les composantes de l'intelligence. Leur utilisation permettrait de mettre ces théories à l'épreuve et de mieux comprendre l'intelligence.
Références
Alan S. Kaufman, « Tendances actuelles dans le domaine de l'évaluation de l'intelligence », Psychologie française , n° 46/3, septembre 2001.