On connaissait les naked news, avec des présentatrices qui terminent leur journal télévisé en tenue d’Eve pour fidéliser les téléspectateurs, voici la naked therapy. Déjà connue comme naked consultant (sic), la new yorkaise Sarah White, 24 ans, thérapeute autoproclamée, vaguement étudiante en psychologie (mais on ne sait pas où), propose des séances de psychothérapie agrémentées de son effeuillage. Pendant une heure, pour 150 dollars, le patient l’observe par webcam sans être vu, et l’on communique par chat. Quand la confiance s’est instaurée, on passe à la vitesse supérieure avec un dialogue par Skype, c’est-à-dire que tous deux se voient et s’entendent sur leur écran d’ordinateur. Troisième étape : des consultations en chair et en os, en face-à-face, ou plus exactement en tête-à-tête. Sarah White finit par enlever sa culotte mais garde ses lunettes, parce que tout de même, c’est une intellectuelle et pas une va-nu-pieds.
Marc Olano