Les responsables des revues francophones de psychologie sont inquiets. Au début de l’année, 52 de leurs représentants se sont réunis à l’initiative de la Fédération française des psychologues et de l’Association des enseignants universitaires de psychologie, pour lancer un appel commun. L’objet de leurs craintes ? Le classement des publications scientifiques – censé refléter leur qualité – élaboré par l’Agence nationale d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES). Les responsables des revues de psychologie publiant en français contestent vivement les critères sur lesquels l’AERES fonde son classement.
Marc Olano