Renseignement et espionnage dans la Rome antique

Renseignement et espionnage dans la Rome antique. Rose Mary Sheldon, Les Belles Lettres, 2009, 528 p., 35 €

À la guerre, il ne suffit pas d’être le plus fort pour l’emporter. Il faut aussi être bien informé. Mieux connaître l’ennemi grâce à l’espionnage, mesurer ses forces et ses faiblesses, voire l’intoxiquer en diffusant de fausses informations… Telle est la fonction des services secrets, qui détiennent en partie les clés de la victoire. Les Américains l’ont appris à leurs dépens lors des attentats du 11 septembre 2001. Mais ce revers a eu aussi des effets bénéfiques puisqu’il leur a rappelé l’importance du renseignement dans la stratégie politique et militaire.