S’il existe un large panel de prises en charge concernant les états de stress post-traumatique, toutes n’ont pas fait leurs preuves. Dès lors, la problématique de la mémoire et des souvenirs douloureux demeure une priorité pour de nombreux laboratoires de recherche. Justement, des chercheurs du Laboratoire européen de biologie moléculaire et de l’université Olavide de Séville ont mis en avant l’hypothèse d’une voie cérébrale liée à l’effacement sélectif des souvenirs.
Marc Olano