Aujourd’hui, les grandes écoles se trouvent le plus souvent sur le banc des accusés. Reproduction des élites, manque d’ouverture sociale et internationale, immobilisme…, les ouvrages abondent pour dénoncer leurs travers. Une enquête récente, réalisée par des chercheurs français de l’Irédu et du Céreq, vient cependant quelque peu redorer leur blason. Cinq ans après leur diplôme, il a été demandé à d’anciens étudiants de comparer les compétences qu’ils ont acquises au cours de leurs études et celles requises par leur travail.
Marc Olano