Il est aisé de parler des relations que nous partageons avec nos proches. Mais les liens affectifs qui nous unissent avec des espaces géographiques paraissent plus mystérieux. Pourtant, nous entretenons des relations complexes avec certains lieux, qui dépendent beaucoup de leur agencement. C’est ce qu’ont montré trois spécialistes écossaises en urbanisme, à partir de l’exemple d’un complexe sportif à Glasgow. Elles sont les premières à avoir étudié la façon dont l’espace urbain joue directement sur nos émotions, au-delà de nos racines et origines géographiques.
, « Connecting physical and social dimensions of place attachment. What can we learn from attachment to urban recreational spaces ? », , janvier 2016.