L'université populaire (UP) de Lyon a vu le jour l'année dernière. Comment est né ce projet ?
Nous étions un petit groupe intéressé par ce que faisait Michel Onfray à Caen. J'avais déjà participé à des cafés philo. Je sentais une vraie demande de débat mais je regrettais qu'il n'y ait seulement qu'un échange d'opinions, pas toujours associées à un savoir. D'où l'idée d'avoir un cours magistral d'une heure et un débat l'heure suivante : cela permet une vraie transmission de connaissances mais aussi de créer un espace critique de discussion et d'échanges s'appuyant sur des éléments de savoir.